« L’examen est plus long que prévu », explique Ralph Schulz, chef du domaine spécialisé « analyses de sécurité » de l’IFSN. L’évaluation définitive de l’IFSN ne sera ainsi pas disponible à la fin cette année, comme prévu.
L’IFSN fixera de nouvelles hypothèses de l’aléa pour chaque site de centrale nucléaire en même temps que la prise de position. Ces hypothèses de l’aléa serviront de base à de nouvelles démonstrations de résistance aux séismes.
Des experts en provenance de l’étranger et de Suisse ont réévalué l’aléa sismique pour les sites des centrales nucléaires helvétiques. Ces travaux ont pris place sous la direction de l’organisation faîtière des exploitants des centrales nucléaires suisses « swissnuclear », dans le cadre d’un processus complexe.
La nouvelle étude a été remise fin 2013 à l’IFSN. L’objectif était de préciser les analyses du projet PEGASOS, terminé en 2004.